Halala, les soirées étudiantes, c'est sympa parce qu'il y a plein de bogoss, mais, franchement, les gens bourrés qui comprennent pas que les musiciens, c'est pas eux, mais les gens sur scène, ça va 5 minutes!
Bref, trois concert pour le prix (très élevé) d'un, dans l'ambiance "boîte de night" de la Locomotive, redécorée (ouf) par les étudiants qui organisaient la soirée (j'me souvient même plus de quelle école, bref).
D'abord, Vegomatic, groupe de Jessépaou, une sorte de rock-noise avec une chanteuse, un guitariste, un bassiste et un batteur. Des chansons en français et en anglais, une bonne pêche sur scène (ha, je viens de lire que c'est un groupe electro-rock de Paris), des blagues débiles qu'ils font pourtant jusqu'au bout (une partie de ping pong invisible entre le guitariste et la chanteuse qui dure une plombe!). Le guitariste est bien rigolo, il saute partout, les doigts en sang et n'arrête pas de sortir des blagues qui font des bides... Bref, y'a du spectacle sur la scène, surtout grâce au guitariste et à la chanteuse, mais j'ai assez moyennement apprécier la musique... Une petite impression de pas propre, de pas carré, et assez difficilement supportable pour les oreilles (m'enfin, aucun des groupes n'a été gâté niveau son ce soir là...).
Ensuite, le groupe Rhésus, un groupe Belge plutôt orienté pop-rock, avec que des chansons en anglais. Même si c'est pas du tout mon truc le pop-rock, j'ai trouvé ça vraiment sympa! Des musiciens super bons, un batteur avec un jeu de folie... Bref, du bon pop-rock.
Enfin, le clou du pestak, Le Maximum Kouette! Depuis le temps que j'attendais de les voir sur scène, ce fut un grand et bon moment! Quatre nanas aux postes principaux (chant, guitare rythmique, guitare soliste et basse) du costume bien comme il faut (ça m'a rapellé un certain groupe apellé Corentin et ses Danseuses), de la chouette mise en scène, et une musique qui donne la pêche (bon, sur ce point là, c'était pas une découverte!).
Dommage que, dans ce genre de concert, une partie du public gâche souvent le truc...
Maintenant, c'est ici que ça se passe.
Il y a 13 ans